CONSOMMATEURS - CONSOMMATION RESPONSABLE
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Baromètre 2022 du commerce équitable
Ce baromètre a été réalisé suite à une enquête auprès de 1 213 personnes belges et de plus de 16 ans. Les résultats sont établis par sexe, âge, région, niveau d’étude. Ils mesurent les différents critères du choix des consommateurs, la fréquence d’achat en produits équitables, le type de produit, les lieux d’achat, l’influence de la Covid sur ces achats,... L’enquête montre une chute de la notoriété du commerce équitable auprès des consommateurs belges. Cependant, il est importun de comprendre les raisons de ce désintérêt pour mieux s’adapter à la demande des consommateurs, surtout préoccupés actuellement par le pouvoir d’achat et le coût de la vie. Pour encourager les changements de comportement, il faudrait, entre autres, renforcer le lien entre consommation responsable et commerce équitable, développer les produits équitables locaux. Cette enquête montre aussi que l’achat de produits équitables est fortement corrélé à l’offre en grande surface et n’est pas nécessairement volontaire. D’où l’importance de renforcer l’image de produits équitable dans la grande distribution et à des prix attractifs.
Enabel ; Incidence - 2022/07 - 134 p. - Rapport
S’engager sans renoncer ?
Ce baromètre présente les résultats d’une enquête réalisée sur un échantillon de 2 033 Français de plus de 18 ans sur le thème de la consommation responsable. C’est la quinzième édition de ce travail ce qui permet de noter les évolutions dans le temps. Il en résulte qu’aujourd’hui 7 Français sur 10 sont conscients du lien entre leurs achats et l’avenir de la planète. Mais, pour ancrer l’habitude d’achats responsables, ils souhaitent être aidés par les entreprises et les marques pour qu’elles proposent des produits responsables en les assortissant de preuves claires. Cependant on note également des freins qui perdurent. Pour pérenniser la consommation responsable, les produits doivent avoir une bonne accessibilité, donner envie et ne pas refléter l’austérité ou l’exclusion sociale.
Greenflex ; ADEME - 2022 - 8 p. - Rapport
Enquête d’opinion auprès des Belges sur la consommation responsable
Les résultats de cette enquête sont très détaillés et ventilés selon les régions belges. Pour les Belges, leurs premières préoccupations de consommation sont la santé, la pollution et le pouvoir d’achat. Ils sont conscients que leurs achats ont un impact et qu'ils vont devoir adapter leur mode de vie et de consommation. La crise de Covid-19 les préoccupe toujours – surtout les jeunes - mais significativement moins qu’en 2020. Même si le prix reste important, les produits sains et le lieu de production deviennent des critères importants. La consommation responsable (moins d'emballages, moins de déchets, produits de saison, produits locaux, réduire sa consommation) est surtout liée à l'écologie. La consommation responsable repose essentiellement sur le comportement des consommateurs avant celui des marques et de l'État. Les produits équitables ou écologiques sont moins connus que les produits locaux ou bio.
Enabel ; Incidence - 2021/09 - 75 p. - Rapport
Perception du concept de sobriété et pratiques de consommation
La sobriété suscite une large adhésion de principe d'après le sondage mené auprès d'un panel d'un millier de Français métropolitains et de plus de 500 Parisiens. Les 25-34 ans, les CSP + et les parents avec enfants sont plus enclins à prévoir une diminution de leur consommation, en particulier dans les secteurs de l'alimentation, des vêtements et de l'énergie. Cependant, les catégories sociales plus limitées en terme de budget sont également réceptives au concept de sobriété. Il s'agit surtout de consommer autrement (plus local, éviter le rachat de neuf...). Mais les Français veulent garder la liberté de leur consommation. Ils sont favorables à cette démarche de sobriété mais peu le réalisent. Il existe donc un fort potentiel pour développer des pratiques plus sobres. L'économie sociale et solidaire peut jouer un rôle dans la promotion de la sobriété.
ViaVoice ; Pacte Civique ; Fondation Crédit Coopératif - 2021/05 - 42 p. - Rapport
Les Français et les vêtements équitables
Ce sondage d'Opinion Way pour Max Havelaar France porte sur 3 questions lors d'achat de produits textiles et de vêtements. Quels sont les critères d'achat par ordre d'importance (conditions de fabrication, respect de l'environnement, made in France, etc. ) ? Quels acteurs devraient se mobiliser pour améliorer la filière (grandes marques, enseignes, créateurs de mode...) ? Quel rôle peuvent jouer les consommateurs (acheter moins souvent, acheter plus cher...). D'après ce sondage, les Français deviennent sensibles aux enjeux sociaux et environnementaux de la filière. Ils attendent que les acteurs se mobilisent plus sur cette question et, en tant que consommateurs, ils sont prêt à faire des « efforts ». Ils souhaitent un étiquetage obligatoire et un label indépendant sur les vêtements.
Fairtrade Max Havelaar France ; Opinion Way - 2021 - 16 p. - Rapport
Baromètre Max Havelaar de la transition alimentaire
Ce baromètre a été réalisé auprès d'un échantillon de 2 034 personnes, du 16 au 22 octobre 2020, c'est-à-dire avant le deuxième confinement lié à la crise de Covid-19. Il en ressort, entre autres, que 62 % des Français trouvent nécessaire d'adopter des comportements vertueux dans leurs achats, 66 % nécessaire de limiter leur consommation, 78 % sont favorables aux produits locaux, 58 % ont pris conscience que de nombreux articles sont importés mais ils sont peu nombreux à vouloir se passer de chocolat, café et bananes. Beaucoup approuvent le vrac mais le confinement a limité ce type d'achat. Ils veulent limiter le gaspillage alimentaire et luttent contre le suremballage. Les principaux freins à l'achat de produits responsables sont le prix puis l'indisponibilité en magasins. Consommer responsable est souvent considéré comme demandant trop d'efforts. Le consommateur voudrait que les entreprises s'engagent plus dans ce secteur pour mieux rémunérer le producteur, limiter les additifs, réduire les plastiques, proposer des prix bas pour les produits responsables. La crise a incité les consommateurs à se tourner vers des lieux d'achat de proximité.
Fairtrade Max Havelaar France ; Opinion Way - 2020 - 31 p. - Rapport
Edition 2020 du baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France
L’enquête annuelle réalisée par l’Agence Bio vise à évaluer l’évolution de la consommation de produits biologiques, à identifier les motivations des consommateurs, les circuits choisis ainsi que les freins, auprès d’un échantillon représentatif de la population française. La consommation de produits biologiques est en nette progression, y compris dans les secteurs non alimentaires et en particulier chez les nouvelles générations. Cette augmentation se fait parallèlement à une prise de conscience de l’urgence climatique et à un changement des modes de vie au quotidien. Si le prix n’est plus la barrière principale à la consommation de produits bio, le manque d’informations sur le cahier des charges génère de la méfiance auprès de certains consommateurs.
Agence Bio - 2020/01 - 124 p. -
One bite at a time : Consumers and the Transition to Sustainable Food : Analysis of a survey of European consumers on attitudes towards sustainable food
La production alimentaire a un impact néfaste sur la biodiversité et sur les écosystèmes. Cette enquête menée dans onze pays européens cherche à mieux comprendre le rapport des consommateurs à l’alimentation durable. Malgré une prise de conscience générale et une volonté de changer leurs habitudes alimentaires pour des raisons environnementales, les consommateurs manquent encore de connaissance sur l’impact réel de leur consommation. Ces derniers ont tendance à sous-estimer l’impact de leur consommation et à mal appréhender le concept d’alimentation durable. Face à ces constats, l’organisme BEUC apporte des recommandations pour contrer ces barrières.
BEUC (Bureau européen des unions de consommateurs) - 2020 - 44 p. - Rapport
Environnement : les jeunes ont de fortes inquiétudes mais leurs comportements restent consuméristes
L'enquête menée par le CREDOC auprès des jeunes adultes de 18 à 30 ans montre que leur priorité, parmi leurs préoccupations, concerne les questions environnementales. D'ailleurs, ils se mobilisent en grand nombre lors des manifestations sur ce thème. Cependant, leurs pratiques ne sont pas à la hauteur de leurs convictions : ils trient moins leurs déchets, sont peu sensibles à l'achat de produits locaux et de légumes de saison, achètent leurs vêtements en solde et gaspillent plus que leurs aînés. En revanche, ils innovent en terme de transport et achètent d'occasion. Seul le modèle suédois fait figure d'exemple. Pour améliorer la prise de conscience des jeunes, les politiques publiques pourraient : montrer les bénéfices personnels qu'on peut retirer des bonnes pratiques, donner des exemples, démontrer la responsabilité de chacun, promouvoir des applications d'aide aux achats à moindre impact environnemental...
2019/12 - 4 p. - Rapport
Literature Review on Public Attitudes to Fair Trade and ethical consumption
Ce rapport a été réalisé dans le cadre de la campagne européenne Trade Fair Live Fair. Dans une première partie, il analyse et compile les travaux effectués dans les pays européens sur les attitudes des consommateurs face à des achats de produits éthiques. Malgré la difficulté de trouver des données comparables entre les différents pays, on constate que les consommateurs des pays du Nord ou de l'Ouest de l'Europe sont mieux informés et plus enclins à l'achat de produits éthiques que ceux des pays de l'Est et du Sud de l'Europe. Le contexte socioéconomique et culturel des consommateurs influe sur leur comportement en faveur de produits éthiques. Il existe un écart entre l'intention exprimée et le comportement réel. Les freins à l'achat sont le prix, la confiance envers les étiquettes et la disponibilité limitée des produits. La deuxième partie de ce rapport reprend les résultats obtenus lors d'une enquête menée par Revolution Fashion et Ipsos Mori (2018) auprès de 5 000 consommateurs en France, Allemagne, Italie, Espagne et au Royaume-Uni sur leur consommation en produits alimentaires, cosmétiques, de mode et d'hygiène. Cette enquête portait sur les critères auxquels les consommateurs étaient le plus sensibles lors des achats de produits éthiques : protection de l'environnement et changement climatique, respect des droits humains, lutte contre les discriminations et contre la pauvreté.
Global CAD - 2019 - 67 p. - Rapport
Une histoire qui pourrait révolutionner notre façon de consommer
En 2016, la crise du lait fait des ravages parmi les producteurs. L'opinion publique s'émeut des revenus de misère que touchent les producteurs et s'indigne de ce modèle commercial dominé par la grande distribution et basé sur des prix toujours plus bas. Un petit groupe d'hommes d'expériences professionnelles diverses (dont des agriculteurs, un transformateur, un salarié du magasin Carrefour) pense qu'il faudrait partir des souhaits des consommateurs, tant sur la qualité des produits que sur l'estimation d'un prix correct pour les producteurs. Ainsi est né "C'est qui la patron ?!". En août 2016, les initiateurs du projet mettent en ligne un questionnaire sous forme de QCM avec 7 questions simples (alimentation des vaches, origine des fourrages, emballage et prix) pour analyser les souhaits des consommateurs avec un prix plancher du litre de lait de 69 centimes. Quelques semaines plus tard – ce qui est étonnant pour une marque inconnue - le prix retenu par les consommateurs est de 99 centimes. C'est un succès. Le projet démarre et la chaîne Carrefour commercialise les briques de lait avec le logo de "C'est qui le patron?!". Les consommateurs sont au rendez-vous. L'entreprise poursuit avec d'autres produits (jus de pommes, pizzas, etc.). Même si les contacts avec la grande distribution ne sont pas toujours été faciles, elle s'intéresse progressivement à la démarche. "C'est qui le patron ?!" ne fait ni publicité ni marketing. Ce sont les médias qui s'emparent de cette initiative et la présentent à leurs lecteurs et auditeurs. "C'est qui le patron ?!" a aussi créé la « Chaîne des consos & des citoyens » qui diffuse des reportages sur les producteurs, des interviews et des entretiens pédagogiques sur l'alimentation. Les consommateurs se sentent très impliqués dans le projet et ont un rôle à jouer pour faire tourner le système. Ils font du bouche à oreille auprès de leurs proches et réclament ces produits, s'ils sont absents des rayons, auprès des responsables de leurs magasins. Des applis (de consommateurs, de citoyens) sont créées pour accompagner les potentiels acheteurs, afin de les aider à trouver les produits de "C'est qui le patron ?!" et à connaître les impacts sociétaux et environnementaux des produits qu'ils achètent. Actuellement, "C'est qui le patron ?!" commercialise 19 produits vendus dans plus de 12 300 magasins.
C'est qui le patron ?! - 2019/10 - 191 p. - Ouvrage
Consumer Survey Report : A baseline survey on EU consumer attitudes to sustainability and supply chain transparency in the fashion industry
Cette enquête a été réalisée dans le cadre du projet "Trade Fair, Live Fair", porté par la Commission européenne, afin de répondre aux objectifs du développement durable. Ce projet regroupe une trentaine d'organisations européennes de commerce équitable. L'enquête a concerné 5 000 personnes âgées de 16 à 75 ans dans 5 pays de l'Union européenne (Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Espagne). Elle cherche à déterminer les attentes des consommateurs sur les informations qu'ils souhaiteraient obtenir concernant la fabrication des vêtements qu'ils achètent. À partir des résultats, ce rapport fournit des recommandations aux industriels et aux pouvoirs publics.
Fashion Revolution - 2018/10 - 45 p. - Rapport
Baromètre 2018 du commerce équitable
Le TDC (Trade for Development Centre) entreprend tous les deux ans une enquête très détaillée auprès de la population, belge pour sonder l'évolution de leurs connaissances, de leurs opinions et de leurs attitudes, ainsi que leur comportement d'achat en matière de commerce et de produits équitables. Ce rapport présente les nombreuses grilles du sondage avec les résultats obtenus en 2018, en les comparant aux résultats obtenus en 2014 et 2016. Quelques points significatifs ressortent de cette enquête. Le commerce équitable est globalement un concept bien connu du public, même si les critères environnementaux y sont rarement associés. Mais l'engagement au niveau des achats n'évolue guère et reste faible. L'information et la sensibilisation au commerce équitable sont donc extrêmement importants tant de la part des pouvoirs publics que de la société civile ou des média. L'importance du commerce équitable est reconnue mais l'opinion publique est peu convaincue de ses impacts. Les produits du commerce équitable souffrent de 4 critiques : un prix plus élevé, une qualité moyenne, une identification peu aisée et un manque de garantie.
GOMPEL, Roland ; TDC (Trade for Development Centre) - 2018/08 - 93 p. - Rapport
Résultat du sondage Opinion Way pour Max Havelaar France – Mai 2018
Ce sondage commandité par Max Havelaar France a été effectué par entretiens sur un échantillon d'un millier de personnes. Il concerne essentiellement 4 points : Quels facteurs l'interviewé prend-il en compte lors de ses achats (prix, provenance, salaire du producteur, protection de l'environnement,...) ? Quel est son intérêt pour une offre plus importante de produits équitables ? Quels sont les acteurs qui peuvent le mieux développer cette offre (supermarchés, restauration collective, épicerie de proximité,...) ? Quelles mesures pourraient prendre les pouvoirs publics pour favoriser la croissance de l'offre en produits équitables ? Ce sondage montre un premier résultat : 79 % des Français souhaitent disposer d'une offre en produits équitables plus grande en gamme et sur plus de points de vente.
MICHEAU, Frédéric ; Opinion Way - 2018/04 - 15 p. - Rapport
Les Français, la consommation écoresponsable et la transition écologique
Ce sondage IFOP a été commandité par WWF France. Il montre que 70 % des Français sont prêts à consommer des produits plus responsables (produits labellisés, produits locaux, produits plus rémunérateurs pour les producteurs). Ils sont prêts à diminuer leur consommation en protéines animales. Ils souhaitent une meilleure information sur la qualité des produits alimentaires (pesticides entre autre) et davantage de transparence sur les prix. Ils sont favorables à une aide publique pour développer une agriculture écoresponsable. Ils souhaitent une meilleure concertation entre les ministères de l'Agriculture et celui de l'Environnement.
IFOP (Institut d'étude d'opinion et marketing) - 2017 - 30 p. - Rapport
Les Chiffres de la Consommation Responsable – Edition 2016 : Évolutions et tendances
9e édition de ce rapport annuel qui, à partir de chiffres effectifs (en valeur et en volume), analyse pour la France la consommation des ménages par secteur : alimentation, énergie, transports, habitat, tourisme, finances, etc. L'année 2015 pourrait être une année charnière avec un changement profond vers une consommation plus responsable. Pour une large majorité des Français, il s'agit de consommer mieux et autrement et de privilégier les produits locaux, éthiques, moins polluants et éco-labellisés.
Mes courses pour la planète - 2016 - 32 p. - Rapport
La Vie Happy, changer les comportements pour changer le monde
Ce rapport a été réalisé par Mes Courses pour la Planète en partenariat avec l’Ademe, Ikea, et l’Institut de Liaisons et d’Etudes des Industries de Consommation. En partant du constat que les approches actuelles pour changer les comportements de consommation ne sont pas suffisantes, l’étude cherche à trouver les leviers qui pourraient activer de nouvelles pratiques positives. Elle met en exergue de très nombreux exemples d’initiatives concrètes et innovantes et fait appel à de nombreux experts. Puis elle préconise des recommandations par catégories d’acteurs : entreprises, médias, pouvoirs publics.
2016 - 71 p. - Rapport
Market Research on Customers’ Awareness, Opinion and Understanding of Ethical Labels in South Africa : Results
Cette enquête auprès du grand public sud-africain cherchait à identifier sa connaissance des labels éthiques et leur compréhension par les consommateurs ainsi que leurs habitudes d'achat de produits éthiques. Les résultats de cette enquête, qui a porté sur 1 700 entretiens, montre qu'une forte majorité des Sud-Africains sont bien conscients des enjeux environnementaux mais n'a pas une connaissance suffisante des labels éthiques et/ou durables, même si cette connaissance est un peu supérieure parmi la population blanche et les personnes les plus aisées. Il est à noter que l'étiquetage erroné des produits est courant en Afrique du Sud, ce qui entraîne une perte de confiance des consommateurs. Cependant, si des informations correctes et compréhensibles étaient associées aux logos, elles permettraient de rendre les consommateurs plus attentifs. En effet, 50 % des consommateurs interrogés auront davantage tendance à acheter un produit si celui-ci porte le logo Fairtrade, et 25 % d’entre eux sont tout à fait disposés à acheter des produits Fairtrade, quel qu’en soit le prix.
TDC (Trade for Development Centre) - 2017 - 119 p. - Rapport
Hot Beverages in Kenya and East Africa : Opportunities for Fairtrade certified tea, coffee and powdered hot drinks brands
Trade for Development Centre (TDC) et Fairtrade Africa ont commandité cette étude de marché sur le thé, le café et le cacao en Afrique de l'Est. Ces 3 denrées font l'objet d'une consommation locale importante. Cette étude analyse l'ensemble de ces filières au Kenya, en Ouganda, au Burundi, en Tanzanie et au Rwanda, tant au niveau des circuits conventionnels que des circuits éthiques avec certification. Elle montre qu'une part importante de la production est certifiée Fairtrade mais que les consommateurs locaux ont une connaissance très faible des produits éthiques et des certifications associées. Donc ils achètent peu les produits Fairtrade (moins de 1 %). En revanche, ces consommateurs sont sensibles aux valeurs portées par le mouvement Fairtrade. S'ils en avaient une meilleure connaissance, les produits Fairtrade pourraient avoir un fort potentiel de croissance.
TDC (Trade for Development Centre) - 2017/06 - 131 p. - Rapport
Que nous enseignent les études de consommateurs sur la capacité du commerce équitable à être un outil de développement ?
Résumé : « Que nous enseignent les études de consommateurs sur la capacité du commerce équitable à être un outil de développement ? Dans une première partie, il ressort des principaux résultats des études récentes que l’achat engagé ou la consommation responsable englobant les achats équitables correspond à une tendance de fond. Cependant, elle demeure cantonnée à un marché de niche. Pour autant, les consommateurs dans leur majorité se disent prêts à s’engager en faveur d’achats responsables s’ils ont l’assurance des impacts de leur effort financier, s’ils peuvent être confiants dans la qualité sociale et environnementale des produits et enfin si l’engagement s’ancre dans un espace précis en faveur de producteurs ou salariés que ce soit ici et/ou là-bas.»
BEJI BECHEUR, Amina - 2012/05 - 7 p. - Article universitaire
Comportements, attitudes et opinions des personnes vivant en Belgique par rapport au commerce équitable : Baromètre quantitatif V4
4ème édition de ce baromètre commandité par l’organisme Trade for Development Centre (TDC) de l’Agence belge de coopération au développement (CTB). Cette enquête porte essentiellement sur la notoriété du commerce et tourisme équitables pour la population vivant sur le sol belge, la connaissance des concepts, les comportements d’achat. Un Belge sur deux a acheté un produit équitable au cours des 12 derniers mois, mais moins de la moitié de la population se sent concernée par ce modèle économique.
TDC (Trade for Development Centre) - 2014 - 60 p. - Rapport
Les Français et le développement durable : Typologie des consommateurs : radicalisation et impatience
Cette étude propose un comparatif avec les résultats obtenus en 2011 et analyse l’évolution de différents groupes de consommateurs français. Globalement, les Français sont de plus en plus conscients des impacts de leurs achats sur l’évolution économique et le développement durable. Les moins engagés commencent à agir. Consommer local, consommer mieux qualitativement, consommer « malin », éviter le gaspillage semblent des tendances fortes.
Ethicity - 2013/09 - 33 p. - Rapport