Après deux décennies de vains efforts pour améliorer la situation, le secteur du cacao en Afrique de l’Ouest est toujours déplorable : pauvreté, travail des enfants, déforestation, transgression des droits humains, manque de transparence, production de cacao illégal, faiblesse des infrastructures... Cependant, depuis deux ans, il semblerait qu’un dialogue plus constructif puisse exister et qu’une demande de réglementations obligatoires, tant du côté des gouvernements que des industriels, se fasse jour. Par ailleurs, les organisations locales de la société civile des pays producteurs commencent à participer à ce dialogue politique.
Public Eye, 2020, 118 p. - Site de publiceye.ch